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Approfondimenti - Insights


FOIRE INTERNATIONALE ALGER

Une vingtaine de contrats ont été signés, entre des entreprises privées algériennes et des sociétés tchadiennes et ivoiriennes pour un montant global de 145,5 millions de dollars, lors d’une rencontre économique tenue dimanche 29 mai à Alger, en marge du 5ème salon Djazair Export organisé concomitamment avec la 49ème Foire internationale d’Alger. Ces accords, qui portent sur des contrats de réalisation et d’opérations d’import-export, concernent les secteurs de l’énergie, des médicaments, de l’électronique, de l’agriculture et de la filière emballage. Le plus important contrat, d’une valeur de près de 116 millions de dollars, a été signé entre un groupe privé algérien «Amimer Energie», spécialisé en groupes électrogènes et en centrales électriques et l’entreprise tchadienne «3A Energie».

Date: 1 juin 2016
Source : Magazine Du Manager


Le français CFAO et les centres commerciaux en Afrique

 

 

A Marcory, commune du sud d’Abidjan, voit un centre commercial fait parler vaste bâtisse grise ultra-moderne de 20.000 m2 avec un passage dans la galerie marchande de 55 enseignes encerclant l’hypermarché Carrefour.

 

 

Il s'agit du centre commercial, le premier de CFAO, marque l’entrée du groupe sur un segment de marché qu’il avait jusqu’alors laissé à ses concurrents : le commerce à destination des particuliers.

 

 

Cameroun, Congo, Gabon, Ghana, Nigeria, République démocratique du Congo et Sénégal… D’ici 2025, 80 autres espaces commerciaux labellisé.


 

Le français CFAO et les centres commerciaux en Afrique

 

 

 

A Marcory, commune du sud d’Abidjan, voit un centre commercial fait parler vaste bâtisse grise ultra-moderne de 20.000 m2 avec un passage dans la galerie marchande de 55 enseignes encerclant l’hypermarché Carrefour.

 

Il s'agit du centre commercial, le premier de CFAO, marque l’entrée du groupe sur un segment de marché qu’il avait jusqu’alors laissé à ses concurrents : le commerce à destination des particuliers.

 

Cameroun, Congo, Gabon, Ghana, Nigeria, République démocratique du Congo et Sénégal… D’ici 2025, 80 autres espaces commerciaux labellisés Playce devraient ouvrir leurs portes dans ces pays d’Afrique de l’Ouest et centrale. Un choix géographique stratégique. « Ce sont les deux zones où le fossé entre l’offre et la demande de consommation moderne est le plus grand, avec un taux de pénétration de la distribution moderne de l’ordre de 3 % », explique Xavier Desjobert, directeur général de CFAO Retail, affilié à Carrefour en Afrique subsaharienne.

 

 

 

 

Et pourtant, les projets de centres commerciaux ne manquent pas. Selon l’analyste, près de deux cents se préparent en Afrique subsaharienne et viendront s’ajouter aux quelque trois cents centres déjà ouverts, en excluant l’Afrique du Sud. « La bataille des centres commerciaux s’est accélérée ces cinq dernières années et ce n’est qu’un début. Je pense qu’elle va être bénéfique aux consommateurs, car elle va tirer les prix vers le bas », poursuit Julien Garcier.

 

 

 

 

Le groupe français Carrefour a, lui, misé sur la production locale pour limiter la hausse des prix sur les produits importés. « En Côte d’Ivoire, nous avons signé près de deux cents contrats avec des fournisseurs locaux que nous formons aux partenariats de la distribution moderne », précise Xavier Desjobert. Un partenariat permettant au français de pratiquer une politique de prix agressive et aux fournisseurs locaux d’accéder aux standards internationaux pour, plus tard, se développer à l’étranger plus facilement.

 

 

 

Pays test du virage stratégique pris par CFAO, la Côte d’Ivoire devrait voir pousser cinq à sept autres espaces commerciaux dans les cinq prochaines années. Un deuxième centre commercial est déjà en construction au nord d’Abidjan, sur la route d’Adjamé, et devrait ouvrir ses portes en 2017.

 

 

 

 

 

Et le laboratoire ivoirien ne s’arrête pas là. Depuis avril, CFAO y teste un nouveau service, en ligne cette fois-ci. Africashop, plateforme de mise en relation des internautes avec les sites d’une dizaine de marques internationales, est la première incursion du groupe français sur le terrain de l’e-commerce.

 

 

 

Aujourd’hui opérationnel en Côte d’Ivoire ainsi qu’au Sénégal, le site devrait s’exporter dans six à huit pays d’Afrique francophone à partir de 2017. Le nombre d’enseignes partenaires, dont Etam, Manoir Coloré et La Redoute, devrait lui aussi grossir. « Nous discutons avec des marques qui pourraient venir compléter notre offre, dans des univers où nous ne sommes pas encore présents comme le jouet, la chaussure ou l’équipement de la maison. Notre ambition est d’offrir le catalogue de produits le plus large possible aux internautes africains », explique Olivier Nguyen Khac, directeur du développement e-commerce chez CFAO, tout en assurant n’avoir pas pour objectif de concurrencer Jumia, surnommé l’« Amazon africain ».

 

 

 

 

 

« Africashop, c’est une autre promesse : celle d’offrir aux consommateurs africains l’intégralité des collections de nos marques partenaires », poursuit le directeur. Contrairement au milliard d’euros que CFAO a mis sur la table pour la construction de ses 80 centres commerciaux, Africashop ne représente pas un investissement important. Le site de mise en relation ne dispose pas d’entrepôts sur le continent, contrairement à Jumia. Un avantage économique qui allonge forcément les délais de livraison, qui sont de deux semaines par voie aérienne et d’un mois par voie maritime.

 

 

Date: 16 mai 2016
Source :Le Monde - Par Morgane Le Cam (contributrice Le Monde Afrique)
En savoir plus: cliquer ici


SYLVAIN ETAIX MAI 2016 

L’Afrique attend beaucoup du Fonds vert pour le climat, lancé par l’ONU pour faire face aux changements climatiques. Le pactole s’élève actuellement à quelque 5 Mds USD (4,4 Mds EUR). A la veille de la conférence des Nations Unies sur le climat (COP 21), à Paris fin 2015, l’aide totale se limitait à 168 M EUR et seules trois enveloppes concernaient l’Afrique (salinisation des sols au Sénégal, prévision météorologique au Malawi et énergie solaire en Afrique de l’Est). 

Source : jeuneafrique

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